• L'histoire d'abord.
    Sans vouloir tout raconter car, personnellement, la quatrième de couverture m'a un peu agacée. Elle me racontait trop de chose alors que je voulais me laisser surprendre, ne pas savoir que ca allait d'abord mieux aller, puis plus du tout, puis mieux finalement. (Ca va, pas trop explicite, même si je gâche un peu le suspens !)

    L'hsitoire donc d'Ariah, veuve au matin de sa nuit de noce. Son mari s'est suicidé en se jettant dans les chutes du Niagara. Elle va errer une semaine sur place en attendant que le corps soit retrouvé. Elle y fera une rencontre qui changera sa vie. J'en reste là.

    J'ai avalé le livre. Vraiment. Euphorique de rentrer dans un monde aussi complet. Et tout d'un coup consciente des vrais lacunes des romans français. Personne n'écrit ça, chez nous ; des romans qui créent des mondes aves des perosnnages qui ont un passé, un passé, un avenir. Des personnages secondaires eux-même complexes même si on ne va pas s'apesantir sur eux. Une ville qui vit vraiment devant nous. dont on comprend le fonctionnement. Les logiques. Les histoires. Le système d epensée. Les valeurs. Les mythes.

    Le rédacteur en chef de LIRE en parlait dans l'éditorial de son dernier numéro et... comme il a raison. Qui écrira les romans du début du XXIème siècle en France ? Quel dommage, vraiment.

    J'ai adoré le personnage d'Ariah... si intriguante, si énervante. Si traumatisante. Aimé aussi le côté saga puisqu'on reste 40 ans auprès d'elle. J'adore ça, surtout quand ca ne dure pas 8 tomes de 600 pages.


    JE RECOMMANDE.

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